La santé et la sécurité au cœur de l’engagement de la Clinique

Puisque la Clinique Bon Pasteur a à cœur la sécurité et la santé de ses employés et collaborateurs comme de ses patients et visiteurs, de nombreux travaux ont été enclenchés cette année pour offrir à tous un espace de vie optimal. Anju Teeluck, Health & Safety Officer, et Mario Sandian, chargé de maintenance à la Clinique, nous en disent plus.

Rédigée en 2008, la politique de Health and Safety connaît, au fil des années, de nombreux remaniements pour répondre au mieux à tous les aspects de la sécurité et de la santé à la Clinique. « Notre politique touche à de nombreux sujets et définit notamment la responsabilité de chacun, en particulier celle de l’employeur envers ses employés, mais aussi le suivi des préoccupations signalées en matière de santé et de sécurité ainsi que la mise en œuvre des mesures correctives recommandées », explique Anju. À cela s’ajoutent aussi la mise en place de formations pour s’assurer que les pratiques de travail appropriées sont suivies, ainsi que l’examen et l’amélioration de tous les processus.

Car une bonne politique santé et sécurité représente une solution gagnante pour toutes les parties. « Nous ne nous conformons pas seulement à la législation, nous assurons aussi à tous un environnement sécurisé, où il fait bon travailler ou séjourner, ce qui est non seulement bénéfique quant à l’engagement de nos collaborateurs et clients, mais engendre aussi des résultats positifs sur le long terme pour la clinique avec, par exemple, l’arrivée de nouveaux médecins réputés », poursuit Anju. Pour l’année 2022, la Clinique met donc les bouchées doubles pour améliorer ses locaux.

Parmi ces travaux, la création d’une nouvelle salle d’opération et la rénovation des deux salles existantes pour répondre au mieux aux besoins des patients et des employés. « Tout a été pensé selon les normes internationales. Par exemple, notre nouveau système de climatisation centralisé permet, grâce à son filtre HEPA, d’approvisionner les salles en air pur, réduisant donc le risque d’infection », dit Mario. Parallèlement, des travaux d’embellissement de la cour d’entrée, avec la création de petits jardins avec une irrigation automatique et un nouvel asphaltage, promettent un cadre de vie amélioré.

Le réaménagement du parking, toujours en cours, est un projet qui pèse lourd dans la balance sécurité. « En plus de l’avoir rénové, nous prévoyons aussi de mettre en place un portail automatique et un système de tickets pour un meilleur contrôle de l’accès », ajoute Mario. L’objectif : réduire au maximum les risques d’accidents et d’incidents en améliorant la circulation des véhicules. La rampe installée pour les personnes à mobilité réduite a, elle aussi, était refaite pour faciliter l’accès aux salles de consultation.

Si les travaux sont nombreux, toutes les précautions sont prises pour assurer un chantier sécurisé pour tous. « Les travailleurs possèdent des équipements aux normes de sécurité et travaillent sous la supervision d’un entrepreneur expérimenté et d’un chef de projet. Certains accès sont restreints et nous nous assurons de réduire au maximum le bruit pour ne pas gêner le quotidien des employés et patients », dit Anju. La plupart de ces travaux étant toujours en cours d’exécution, c’est un visage moderne et frais que la Clinique promet de dévoiler, pour le plus grand bonheur de ses collaborateurs et visiteurs.

Tabac et santé cardiaque : deux éléments qui ne font pas bon ménage !

Pensez à votre santé cardiaque et dites non au Tabac

Si l’on associe souvent tabagisme et santé pulmonaire, on a tendance à oublier ses effets néfastes sur le cœur. Selon l’OMS, un décès sur cinq dus à une maladie cardiaque serait directement lié au tabagisme, un chiffre loin d’être négligeable ! Retour sur la question avec le Dr Gopaul, cardiologue à la Clinique Bon Pasteur.

La consommation de tabac cause, chaque année, des millions de décès à travers le monde. Rien qu’au niveau de la santé cardiaque, les chiffres sont glaçants. « Un fumeur est 2 à 3 fois plus susceptible de faire un accident coronarien – en particulier une crise cardiaque – qu’un non-fumeur et présente 5 fois plus de risques de développer une maladie artérielle périphérique, de type ischémie des membres inférieurs », dit le Dr Gopaul. La cause : une composition de plus de 4 000 substances toxiques.

Parmi celles-ci, la nicotine provoque, par exemple, la libération des cathécholamines, qui ont pour effet d’augmenter la fréquence cardiaque et la tension artérielle. « Les besoins en oxygène du muscle cardiaque augmentent, ce qui est néfaste pour les patients déjà coronariens, et le calibre des vaisseaux coronariens est réduit par un effet vasoconstricteur », poursuit-il. Le tabagisme contribuerait aussi à l’inflammation des parois internes des artères, et augmenterait le risque de développer des caillots sanguins.

Pour le Dr, que l’on parle de tabagisme actif, passif ou occasionnel, les effets sur le cœur restent nocifs. « Une personne qui vit avec un fumeur voit par exemple ses chances de développer une maladie respiratoire ou un évènement cardiovasculaire, de type infarctus du myocarde ou AVC, augmenter. Cela est particulièrement inquiétant chez les enfants ou encore les femmes enceintes qui risquent d’avoir des bébés prématurés ou de faible poids », souligne-t-il.

La pathologie cardiaque la plus courante chez les fumeurs reste l’accident coronarien – entraînant souvent la mort subite ou encore des séquelles telles que l’insuffisance cardiaque, ainsi que des troubles du rythme ou de la conduction. « Le tabac est néanmoins aussi responsable d’une hausse de la tension artérielle et de troubles du rythme, notamment la fibrillation atriale. Ces pathologies peuvent engendrer une dysfonction cardiaque », explique le Dr Gopaul.

Si le risque de maladies cardiaques est accentué par le tabagisme, de nombreux facteurs de risque pèsent aussi dans la balance : hypertension artérielle, excès de cholestérol, diabète – notamment de type 2 –, obésité, sédentarité, stress, antécédents familiaux de maladies cardiovasculaires… Pour s’assurer une santé cardiaque optimale, il est donc conseillé d’adopter une bonne hygiène de vie, avec une alimentation équilibrée et un exercice régulier, et d’éviter le stress.

Si vous pensez faire une crise cardiaque, appelez les urgences sans tarder. Reconnaissable à certains signes – douleur ou gêne thoracique irradiant le cou, les bras et le dos associée à des sueurs et nausées avec malaise et, parfois, une sensation de mort imminente –, la crise cardiaque peut cependant parfois être atypique ¬– avoir des douleurs abdominales ou encore une gêne au bras gauche ¬–, voire même asymptomatique.
« Dès les premiers symptômes, le patient doit être mis au repos complet dans un environnement calme, avant d’appeler le SAMU. Si l’on traite un infarctus en moins de 4 à 6 heures, on s’expose à moins de risques de complications. On a l’habitude de dire que le temps, c’est du muscle ! », conseille le Dr Gopaul. Pas de temps à perdre, donc, pour votre santé !

Pour prendre rendez-vous avec l’un de nos spécialistes pour un bilan cardiaque merci de prendre contact avec les secretaires médicales, à la consultation sur le 401 9500 ou sur notre site web sur la page ‘Médecins’

Le tabagisme, une habitude qui coûte cher à notre organisme

Pour la Journée mondiale de la santé le 7 avril 2022, l’OMS a décidé de mettre l’accent sur le lien qui unit notre santé à celle de la planète. Aujourd’hui, nous sommes de plus en plus exposés à la pollution de l’air, à laquelle nous participons, ce qui n’est pas sans avoir un effet sur notre santé, avec, en première ligne, le tabagisme. Rencontre avec Dr Donat, pneumologue à la Clinique Bon Pasteur.

Quels sont les effets du tabagisme actif sur la santé respiratoire du consommateur ?

La consommation de tabac est connue pour engendrer de nombreux dégâts et tuerait, selon l’OMS, plus de 8 millions de personnes chaque année. À chaque bouffée de cigarette, ce sont de nombreux produits toxiques qu’avale le fumeur : goudron, monoxyde de carbone, acétone… Ces produits attaquent directement les poumons et détériorent le système respiratoire en enflammant les bronches, en détruisant les cils des poumons, connus pour leur rôle dans le nettoyage des bronches, et en provoquant des toux à répétition. Les poumons des fumeurs perdent petit à petit en élasticité et ne se dilatent pas correctement pendant la respiration, ce qui influe sur leur capacité respiratoire, mais aussi sur leur système cardiaque en réduisant l’apport d’oxygène dans le sang. C’est pour cela que l’on dit que les fumeurs sont deux fois plus susceptibles de souffrir d’une crise cardiaque ou d’un AVC que les non-fumeurs.

Quelles sont les affections les plus courantes liées au tabagisme ?

En ce qui concerne le système respiratoire, il existe trois affections récurrentes qui sont, le plus souvent, liées au tabagisme. On retrouve, en premier lieu, les cancers bronchiques, qui font autant de ravages chez les hommes que chez les femmes. Selon l’un des derniers rapports de l’OMS, 90 % de ce type de cancers pourraient être évités en éliminant le tabagisme, ce qui est énorme ! En deuxième lieu, on retrouve la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), une maladie chronique respiratoire grave qui peut mener à une insuffisance respiratoire chronique. Enfin, le tabac représente un facteur de risque important dans le développement de l’asthme, notamment chez les enfants qui sont en contact avec des fumeurs. En plus de ces trois aspects, d’autres maladies respiratoires non liées au tabac peuvent tout de même être aggravées par sa consommation.

Les fumeurs occasionnels ou les fumeurs passifs sont-ils aussi concernés ?

Il existe un seuil de toxicité auquel les spécialistes des voies respiratoires se réfèrent : le concept « 20 paquets-années », ce qui représente une consommation de 20 cigarettes par jour pendant 20 ans – ou, par exemple, 40 cigarettes par jour pendant 10 ans. Le risque de développer un cancer bronchique se définirait à partir de ce seuil critique de 20 paquets-années. Mais même pour un fumeur occasionnel ou un fumeur passif, les cigarettes inhalées sont des cigarettes de trop, car elles aggravent tout de même les risques de développer une maladie. Le tabagisme passif causerait même, chaque année, plus de 1,2 millions de décès dans le monde ainsi que de nombreuses maladies concomitantes. Ce n’est pas simplement le système respiratoire qui est concerné, mais aussi toute la sphère ORL, avec des risques de développer des maladies touchant aux lèvres, à la bouche, ou encore au larynx.

Quels sont vos meilleurs conseils pour se défaire de cette addiction ?

S’il existe de nombreuses solutions pour aider les fumeurs à arrêter de consommer du tabac, il faut avant tout avoir la volonté d’arrêter. Celle-ci est essentielle. Il existe ensuite de nombreuses aides, médicamenteuses et psychologiques, sur lesquelles s’appuyer pour mettre toutes les chances de son côté. Du côté médicamenteux, on retrouve les patches, les pastilles ou d’autres substances. De nouveaux médicaments viennent aussi de sortir, mais il faut être prudent et se faire accompagner par son médecin traitant, car ils peuvent entraîner des effets secondaires. Du côté psychologique, la parole peut être effective, ou encore le Plan de 5 jours préconisé par la Ligue Vie et Santé, qui préconise l’arrêt sans substitut. Il existe aussi des applications mobiles inspirées des thérapies cognitives et comportementales qui accompagnent par la motivation cette décision d’arrêter de fumer. Chaque personne est différente et il existe de nombreuses solutions qui correspondent à chaque individu selon ses préférences.

Une fois la consommation stoppée, que se passe-t-il au niveau du corps ?

La bonne nouvelle pour ceux qui arrêtent de fumer est que la plupart des lésions causées par le tabagisme au niveau du système respiratoire – si elles n’ont pas entraîné les maladies graves évoquées plus haut – commencent à régresser dès l’arrêt de la consommation. Les effets sur le corps sont presque immédiats car après 20 minutes seulement la pression sanguine, le rythme cardiaque et le taux d’oxygène sanguin reviennent à la normale. Au fil des jours, le risque d’infarctus du myocarde diminue et la respiration s’améliore car, de mois en mois, les cils bronchiques commencent à repousser et à reprendre leur travail de nettoyage. Au bout d’un an, le risque d’accident vasculaire cérébral de l’ancien fumeur est le même que celui d’un non-fumeur. Il faut encore quelques années avant que le risque de développer un cancer du poumon ne diminue de moitié et environ 10 à 15 ans pour que l’espérance de vie de l’ancien fumeur atteigne celle des non-fumeurs. Le corps prend du temps pour s’en remettre, mais le jeu en vaut la chandelle !

 

 

 

Tout savoir sur le travail et l’accouchement prématurés

Travail et accouchement prématurés :  tour d’horizon avec le Dr Nawoor

Selon l’OMS, les naissances prématurées représentent environ 11 % des naissances vivantes dans le monde. Un chiffre non négligeable ! Si le travail prématuré se déclenche de façon plutôt impromptue, existe-t-il des moyens pour le prévenir ? Le tour de la question avec le Dr Nawoor, gynécologue à la Clinique Bon Pasteur et directeur de l’hôpital Nehru à Rose Belle.

Quand parle-t-on de prématurité ?

Il existe trois types de prématurité. On parle de prématurité moyenne lorsque la naissance arrive entre 7 et 8 mois, de grande prématurité lorsqu’elle a lieu entre 6 et 7 mois, et de très grande prématurité lorsque l’enfant arrive avant 28 semaines, soit avant 6 mois de grossesse. Dans certains pays, comme en Angleterre et aux États-Unis, le fœtus est considéré comme viable à partir de 22 semaines, bien qu’il existe un fort taux de mortalité et de morbidité. À Maurice, un enfant est considéré comme viable à partir de 26 semaines.

Comment reconnaître un travail prématuré ?

Les signes peuvent ressembler à ceux d’une grossesse à terme : contractions, écoulement d’un liquide au niveau du vagin, fissure de la poche des eaux, perte du bouchon muqueux, crampes douloureuses au ventre ou encore douleurs sourdes au niveau du dos.

Quelles en sont les causes principales ?

Dans la plupart des cas, le travail prématuré se déclenche sans crier gare et sans raison connue. Il existe néanmoins certaines causes qui doivent être prises en compte car elles peuvent mener à un accouchement prématuré. Certaines causes internes – comme des fibromes utérins, des malformations utérines, une infection ou encore une insuffisance cervicale – ou des causes directement liées à la grossesse – comme un hydramnios, ou excès de liquide amniotique, une surdistension de l’utérus à cause d’une grossesse gémellaire, un placenta praevia ou un hématome rétroplacentaire – peuvent induire un travail prématuré. Certaines affections, comme le diabète sucré ou l’hypertension peuvent aussi peser dans la balance. Enfin, le surmenage, les longs trajets quotidiens ou des traumatismes sont aussi à prendre en compte.

Est-il possible de se préparer à cela ?

Il existe de nombreux facteurs de risque à surveiller. Parmi ceux-ci, on retrouve l’abus de tabac, d’alcool et de drogues, des antécédents d’accouchement prématuré, un laps de temps trop bref entre deux grossesses, des évènements traumatiques ou encore des facteurs socioéconomiques comme la pauvreté ou une mauvaise nutrition. Il nous faut donc identifier les patientes à risque et faire un suivi prénatal rapproché, avec l’apport de conseils et une sensibilisation quant au travail prématuré. Si la patiente présente des signes de travail précoce, il existe de nombreuses choses que l’on peut mettre en place lorsque cela est possible. En plus d’un repos forcé et d’un arrêt de travail, on se concentre sur le traitement des infections s’il y en a, sur un cerclage de l’utérus ou sur l’administration de médicaments tocolytiques ou antispasmodiques.

En quoi les bébés prématurés sont-ils différents des bébés nés à terme ?

Si, la plupart du temps, les bébés prématurés naissent avec tous leurs organes, ceux-ci sont encore immatures. Ils ont parfois les yeux encore fermés, certains doivent être intubés pour pouvoir respirer… Ce que l’on remarque le plus souvent, c’est une extrême sensibilité tactile qui peut être très douloureuse. Cela ne veut pas dire qu’il faut éviter de toucher son bébé prématuré, bien au contraire ! On recommande d’ailleurs fortement à la mère de privilégier le « peau à peau » dès que l’état du bébé le permet. Au-delà de tout cela, le bébé prématuré a besoin de beaucoup de soin, d’amour et de courage pour l’accompagner dans ce combat. On parle ici de combat car il faut être un vrai battant pour pouvoir naître dans des conditions aussi difficiles et passer deux mois, voire trois, dans une unité de soins intensifs !

Pour tout complément d’information, n’hésitez pas à contacter notre service de maternité au 401 95 00.

Vrai/Faux : 10 questions sur la préparation à l’accouchement

Se préparer à l’accouchement en 10 questions!

Vous êtes enceinte et on vous parle de plus en plus de préparation à l’accouchement. Vous vous posez probablement des milliers de questions… Est-ce vraiment nécessaire ? En quoi cela consiste-t-il exactement ? Rozie Alcide, sage-femme à la Clinique Bon Pasteur, nous en dit plus en 10 questions-réponses.

1. La préparation à l’accouchement coûte cher.
FAUX. Les cours sont à la portée de quasiment tout le monde. Il faut y voir un investissement sur le long terme. Si elle n’est pas obligatoire, la préparation à l’accouchement est pourtant essentielle pour aborder l’accouchement le plus sereinement possible.

2. Il faut commencer très tôt.
FAUX. La préparation à l’accouchement démarre entre 20 et 25 semaines de grossesse.

3. Les séances peuvent se faire ailleurs qu’à la maternité.
VRAI. Les séances peuvent aussi se tenir à domicile pour les personnes qui ne peuvent pas se déplacer. De plus, avec la situation sanitaire, nous avons aussi mis en place des sessions via visioconférence.

4. Les sessions sont très longues.
FAUX. La préparation à l’accouchement consiste en quatre séances d’une heure chacune. On laisse en général une à deux semaines entre chaque session.

5. La préparation à l’accouchement ne concerne que l’accouchement.
FAUX. Nous couvrons de nombreux sujets lors de nos séances. Nous abordons évidemment la gestion de la douleur, les signes du travail, le déroulement de l’accouchement, mais aussi l’allaitement, les soins donnés au bébé et ce tout nouveau rôle de parent. La préparation à l’accouchement permet aussi d’établir un lien de confiance et de compréhension avec les sages-femmes et d’apaiser les peurs et anxiétés des futurs parents.

6. La préparation à l’accouchement ne concerne pas que les futures mamans.
VRAI. Les futurs papas sont aussi encouragés à participer à deux des quatre sessions, que ce soit pour comprendre et épauler la future mère au cours du travail ou pour en apprendre plus sur les soins à donner au futur bébé.

7. La préparation à l’accouchement ne sert à rien pour un deuxième enfant.
FAUX. Chaque grossesse et chaque accouchement sont différents. De nombreuses mères préfèrent suivre de nouveau des cours pour rafraîchir leur mémoire, explorer des aspects qu’elles avaient oubliés, se sentir mieux préparées, mais aussi renouveler le lien avec les sages-femmes.

8. L’activité physique est essentielle pour bien se préparer.
VRAI. Il est vivement recommandé de maintenir une activité physique durant la grossesse, à moins qu’il n’y ait une contre-indication spécifique. Cela permet à la future maman de garder la forme et de se sentir bien dans sa peau.

9. La préparation à l’accouchement ne concerne que la préparation mentale.
FAUX. Il y a évidemment une grande partie des cours dédiée à la préparation mentale, mais nous mettons aussi l’accent sur la préparation physique pour faciliter le travail avec, par exemple, des étirements ou encore des exercices à faire.

10. La préparation à l’accouchement n’est pas nécessaire lorsque l’on accouche par césarienne.
FAUX. Une césarienne, cela se prépare aussi ! La future maman a de nombreuses questions sur le déroulement de l’accouchement, sur la suite et sur le retour à la maison. Nous essayons, à chaque séance, de couvrir tous les aspects des différentes grossesses et de ce qui peut se passer à l’accouchement pour préparer la future maman à tous les scénarios.

Pour bien préparer votre accouchement, n’hésitez pas à prendre rendez-vous avec notre équipe de sages-femmes sur le 401 95 00.

Une Saint-Valentin à la Clinique

Une Saint-Valentin pas comme les autres !

Chaque année, le 14 février marque la fête des amoureux, partout dans le monde. Moment idéal pour se retrouver avec sa moitié, les choses ne se passent pas toujours comme prévu, mais n’en sont pas moins merveilleuses. Retour sur une Saint Valentin pas comme les autres au service de maternité de la Clinique Bon Pasteur.

Alors que les amoureux s’apprêtent à célébrer ensemble la fête des amoureux, la maternité ne connaît, quant à elle, pas de répit. Le personnel médical doit assurer un service continu tandis que les futures mamans sont parfois surprises par l’arrivée imprévue – ou pas – d’une nouvelle addition.

Pour Rozie Alcide, sage-femme à la Clinique depuis 24 ans, la Saint-Valentin n’est pas réservée aux amoureux. « Cette fête célèbre d’abord l’amour avec un grand A, l’amour pour sa moitié, pour ses enfants, mais aussi pour ses collègues », explique-t-elle. Travaillant de jour en ce 14 février, c’est une journée bien remplie qui attendait Rozie, avec la naissance de quatre nouveaux bébés dans la matinée. Pour elle, il n’y a pas de plus belle façon de vivre ce jour spécial. « L’arrivée d’un enfant, en plus le jour de la Saint-Valentin, est un cadeau unique et symbolique, le fruit de l’amour entre un homme et une femme », poursuit-elle.

Même son de cloche chez Doline Calou, Home Attendant à la Clinique depuis bientôt 11 ans et pour qui la Saint-Valentin dépasse la seule fête des amoureux. « Nous sommes une équipe solidaire. Nous avons un lien, un amour et une harmonie et c’est aussi cela qui nous a permis de pouvoir passer des moments spéciaux ensemble pour la Saint-Valentin », dit-elle. Pour fêter ce lien d’amour, les collègues de garde en même temps que Doline ont ainsi marqué le coup en échangeant des chocolats et en partageant un beau moment d’amitié.

Si la Saint-Valentin a été particulièrement spéciale pour le personnel de la Clinique, elle l’a aussi été pour les mères venues accoucher. C’est le cas de Cindy Belle Etoile, dont la date d’accouchement était prévue pour le 15 février, mais qui a reçu une belle surprise anticipée avec l’arrivée de son second enfant un jour plus tôt. « C’est quand nous l’avons tenu dans nos bras que nous avons réalisé que c’était la Saint-Valentin. C’est comme s’il nous avait fait un cadeau en venant plus tôt pour marquer de bonheur le jour de notre amour », confie Cindy. Une Saint-Valentin peut-être différente, mais tout aussi exceptionnelle !

Des femmes, de la passion et de la santé

Femmes et filles de science de la Clinique Bon Pasteur partagent une même passion : aider les autres

Célébrée le 11 février de chaque année, la Journée internationale des femmes et filles de science souligne le rôle essentiel que ces dernières jouent dans la communauté scientifique. De plus en plus nombreuses, notamment dans le domaine de la médecine, elles portent leur vocation avec passion et ténacité. Portrait de quatre de nos femmes de science.

Nathalie Templin – chargée de la supervision de la maternité

Originaire de Rodrigues, Nathalie s’envole pour Maurice après ses études secondaires pour effectuer des études de sage-femme, un métier qui la passionne depuis le plus jeune âge. « J’ai toujours voulu aider les autres et assister les mères à mettre au monde », explique-t-elle. Séduite par les valeurs de la Clinique Bon Pasteur qu’elle surnomme affectueusement sa « deuxième famille », elle y débute le travail d’une vie en 1988. 34 ans plus tard, la passion est intacte. Si le métier d’accompagnement des mères avant et après l’accouchement est intense et fort en émotions, il est tout aussi gratifiant. « Notre travail principal est de soulager les mères. Une mise au monde peut être éprouvante, mais elle représente aussi beaucoup de bonheur. Ce sont cette joie et le sentiment du travail accompli qui nous permettent de rentrer chez nous, le sourire aux lèvres », continue-t-elle.

Heeroshna « Jane » Ramma – pharmacienne

Fille de préparatrice en pharmacie, Jane n’a pas longtemps hésité avant de décider de son choix de carrière. « J’ai toujours été attirée par la science et la technologie. Mon rêve était d’aider les gens en connaissant tous les médicaments et leurs effets », confie-t-elle. C’est en Inde qu’elle effectue sa licence de pharmacie avant de poursuivre un master en pharmacie clinique en Malaisie. De retour sur l’île, elle commence son stage de fin d’études à la Clinique Bon Pasteur avant de poursuivre dans différents endroits de l’île. En 2021, retour aux sources : Jane rejoint l’équipe de la pharmacie de la Clinique. « On ne s’ennuie pas ici, on apprend tous les jours », dit-elle. Distribution des traitements aux patients, suivi des vaccinations, commande des médicaments… Les journées ne se ressemblent pas ! Ce qu’elle préfère : le bon usage des médicaments. « J’aime guider les patients et les aider à comprendre les traitements », conclut-elle.

Dr Aurélie Boucherville – médecin

Aurélie a ressenti l’appel de la passion très jeune. « Mon grand-père était malade et je ne comprenais pas pourquoi les médecins ne pouvaient pas le guérir. Je n’ai jamais lâché l’affaire, ni fait autre chose », commence-t-elle. À 16 ans, elle tâte le terrain lors d’un stage de vacances à la Clinique Bon Pasteur et confirme très vite sa vocation. Elle s’envole alors pour la Chine, où elle apprend la médecine et le mandarin en simultané – un exploit ! Curieuse de nature, c’est le côté mystérieux de la science qui l’attire d’abord. « Nous devons sans cesse résoudre des énigmes et c’est ce challenge qui me passionne le plus », explique-t-elle. En 2018, elle pose ses valises à la Clinique où elle s’occupe aujourd’hui des urgences le matin et des patients en salle tout en assurant la garde le soir. « Même si le travail est parfois épuisant, le fait de rendre la santé et le sourire aux patients est ce qui me motive et qui me permet de rentrer heureuse chez moi », explique la Dr.

Noorina Chutoo – chargée de la supervision de la pharmacie

Comme ses comparses, Noorina a toujours ressenti ce besoin d’aider les autres, et notamment les personnes malades. Après des études de pharmacie à l’Université de Maurice, elle aiguise ses talents dans diverses pharmacies de l’île avant de rejoindre l’équipe de la Clinique Bon Pasteur en 2015. Pour elle, c’est le coup de cœur. « J’aime travailler à la Clinique car, à la différence d’une pharmacie normale, nous sommes toujours dans le feu de l’action. Nous sommes toujours en contact avec les équipes médicales ainsi que les patients », dit-elle. Aujourd’hui, Noorina n’a aucun regret quant à son choix de carrière. « Ce que j’aime par-dessus tout c’est de continuer chaque jour à me documenter et d’être à jour pour tout ce qui est science, médicaments et pathologies », continue-t-elle.

 

« L’essentiel est d’être dans la communication et pas seulement l’écoute »

Faire de la rentrée une réussite : Communication et écoute ! 

Après de nombreux mois de fermeture, les écoles rouvrent en début février leurs portes. Soulagement pour certains, véritable challenge pour d’autres… Les familles sont partagées et ne savent, pour certaines, pas comment aborder cette nouvelle situation. Comment faire de la rentrée une réussite ? Retour sur la question avec Julien Quenette, psychologue à la Clinique Bon Pasteur.

Après quelques mois d’enseignement à distance, l’école reprend enfin. Comment voyez-vous la situation ?

Pour de nombreuses personnes, la reprise des écoles est une très bonne nouvelle. L’enseignement à distance, même temporaire, a ses limites. Pour les plus petits, le work from home n’était pas forcément adapté, avec un risque d’exposition aux écrans trop important. Pour ceux-ci, la rentrée sera bienvenue car le lien social tient une place très importante dans ces premières années. Les retrouvailles avec les camarades permettront de consolider ce lien.

Et pour les plus grands ?

Chez ces derniers, nous avons vu depuis quelques mois une augmentation de l’impact sur la santé mentale, également des cas de retard, mais aussi de décrochage, ce qui peut être problématique. Cela a aussi été une période compliquée à gérer pour les enfants à besoins spéciaux, avec un réel risque de régression. Retrouver le cadre de l’école leur permettra de remettre en place une routine, ce qui ne peut qu’être bénéfique. Heureusement, le gouvernement a aussi décidé d’étendre l’année jusqu’au mois de novembre en raison des inquiétudes de nombreux enseignants. En effet, ces derniers devront reprendre le programme à zéro pour la rentrée, étant donné les écarts creusés par l’enseignement à distance.

On parle beaucoup de soulagement, mais il y a aussi beaucoup d’appréhension.

Les avis sont effectivement mitigés car tout le monde n’a pas la même réalité. Certains sont ancrés dans leur routine et se sentent bien dans leur environnement. Pour d’autres, la peur de reprendre se double aussi de la peur de la Covid. De nombreux parents préfère prendre du recul et analyser la situation durant les premières semaines de reprise avant de remettre leurs enfants à l’école. Après tout, c’est de nouveau le bouleversement d’une routine à laquelle les enfants se sont habitués depuis des mois. Toutes les familles ne réagissent pas de la même manière au changement. De plus, la situation sanitaire n’a pas changé et il existe de nombreuses règles auxquelles les enfants doivent se réadapter. C’est aux enseignants de cadrer cela et aux parents de rappeler en douceur les précautions à prendre au quotidien.

Comment temporiser ce climat anxiogène ?

Heureusement, après deux ans, la situation n’est plus forcément anxiogène pour les enfants. Ils s’y sont adaptés. Si climat anxiogène il y a, c’est aux parents d’en parler et de faire un bilan avec l’enfant. Pour minimiser l’impact de la situation, la communication reste la clé. Il existe aussi de nombreuses activités à mettre en place pour créer un cadre sécurisant pour l’enfant. On peut, par exemple, préparer une petite carte avec une photo rassurante pour lui, qu’il pourra porter sur lui en permanence, là où il ira .

La reprise nécessite tout de même un ajustement important après tant de temps loin des classes. Comment encadrer au mieux son enfant et lui permettre de se réadapter en douceur ?

Tout cela dépend une nouvelle fois de l’âge de l’enfant. L’UNICEF a donné en 2019 des consignes générales pour accompagner son enfant par la parole . Le plus important est de lui donner un espace de parole. Il faut, par exemple, privilégier des questions ouvertes, l’inviter à parler librement, mais c’est aussi au parent de partager ses propres inquiétudes par rapport à la situation. Au final, l’essentiel est d’être dans la communication et pas seulement l’écoute. Au mieux, ce moment de partage peut aussi devenir une habitude, un espace où l’on peut questionner ses émotions, les communiquer et échanger, ce qui est primordial pour un développement serein. Les enfants apprennent en observant et ce sont les parents qui sont leurs modèles pour apprendre à gérer leurs émotions. Il y a aussi tout une routine à mettre en place et à laquelle se tenir, notamment pour ce qui est du suivi scolaire. On peut, par exemple, instaurer un planning précis, donner un temps de pause pour décompresser dès le retour à la maison, prendre un moment pour faire le suivi des devoirs et mettre en place des activités jusqu’au coucher. Malheureusement, ce n’est pas possible pour tout le monde. Le principal est de faire ce que l’on peut, du mieux que l’on peut.

Pour expliquer la Covid-19 aux enfants, une magnifique histoire publiée par le Comité permanent inter-organisations (CPI) pour la santé mentale et le soutien psychosocial (SMSPS) dans les situations d’urgence.

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Une carte pour mieux vivre la séparation de la rentrée


https://www.unicef.org/fr/coronavirus/comment-parler-a-votre-enfant-de-la-maladie-a-coronavirus-covid-19?fbclid=IwAR3_frABt54wEDF84IOLUO5Vs04RK_MVNGvkl8o2lkL1nzT03mFAsbn2czE

 

Dans les coulisses de la COVID-19 et ses indispensables travailleurs de l’ombre

Lumières sur nos indispensables travailleurs de l’ombre

Avec l’arrivée de la pandémie en 2020, c’est le branle-bas de combat dans les cliniques et les hôpitaux. Les équipes médicales s’échinent pour assurer un soin continu des malades, ce qui leur vaut, à juste titre, de nombreux lauriers. Pourtant, d’autres travailleurs, loin des regards, apportent eux aussi leur pierre au grand édifice du soin. Rencontre avec Valentine Berthelot, Marie-Noëlle Veeren, Sarita Padarat et Billy France, ces travailleurs silencieux de la Clinique Bon Pasteur.

Si la qualité des soins passe par le personnel soignant, le bon fonctionnement d’une clinique passe, quant à elle, par l’acharnement de ses travailleurs de l’ombre. Espaces de vie aseptisés, chambres nettoyées de fond en comble, repas préparés avec amour et machines opérationnelles : voilà le cœur d’une clinique et le premier pas vers des soins de qualité. Pour ces travailleurs, si la situation COVID est venue quelque peu bousculer les choses à la Clinique, le quotidien reste à peu près le même.

Billy, responsable de la réparation et de l’entretien des machines, le confirme : « Notre travail de tous les jours n’a pas changé, il nous faut juste être plus vigilant et prendre plus de précautions », dit-il. Pour ces travailleurs dont la présence a été continue, même pendant le confinement, ce sont les mêmes protocoles qui s’appliquent à tous : port du masque, distanciation sociale, désinfection des mains, moins de socialisation…

Pour Marie-Noëlle, responsable du département blanchisserie, si la peur était présente au début, elle s’est très vite dissipée face à cette urgence d’aider l’autre. « Une clinique ne peut pas s’arrêter, nous avons donc tout fait pour assurer aux patients un espace sûr où se faire soigner », explique-t-elle. « Grâce aux formations et informations données par la Clinique, nous sommes conscients de ce qu’est ce virus et avons pu apprivoiser la situation », poursuit-elle.

Même son de cloche chez Sareeta, responsable du nettoyage de la Clinique. Pour elle, ce n’est pas tant affronter la COVID tous les jours qui lui fait peur, mais plutôt le fait de mettre ses proches à risque. « Malgré tout, participer à l’effort COVID était pourtant une évidence. Nous travaillons chaque jour plus dur, mais nous savons que c’est nécessaire », confie-t-elle.

Et si le travail est un peu plus ardu, il a aussi ses bons côtés. Valentine, responsable de la cuisine, aborde chaque jour avec optimisme et sourire. « Ma plus grande motivation est de rendre la vie des gens plus douce », explique-t-elle. Loin de se laisser submerger par la situation, elle accueille chaque journée comme un challenge. « Ce qui me fait plaisir, c’est de faire plaisir. Je m’adapte aux envies de chacun des patients et employés pour leur concocter des plats qui leur réchaufferont le cœur », continue-t-elle.

Ces travailleurs sont les rouages essentiels de cette grande machine qu’est la Clinique et garantissent, grâce à leur travail en coulisses, un espace sûr et sécurisé. Dévouement et détermination sont ici les maître-mots car, sans ce travail quotidien, la clinique ne pourrait jamais fonctionner correctement et assurer les soins de qualité qu’elle propose aujourd’hui.

Une fin d’année mouvementée à la Clinique

Un air de fête qui règne sur la fin d’année quelque peu mouvementée

Si la fin d’année est toujours quelque peu mouvementée à la Clinique, la situation sanitaire et les nombreux cas journaliers n’auront pas arrangé les choses ! Et pourtant, malgré ces aléas, il plane un air de fête et de partage sur cette grande famille qu’est la Clinique Bon Pasteur. Retour sur cette période particulièrement intense avec Sheela Kamayah et Rajesh Beeyafan, tous les deux Nursing Supervisors à la Clinique.

Dans le domaine médical, la fin d’année apporte toujours son lot de travail supplémentaire : petits accidents, chutes, blessures, incidents liés aux feux d’artifice… Cette année, la COVID-19 en rajoute aussi une couche. « Nous avons eu beaucoup de travail car de nouvelles tâches se sont ajoutées à notre charge de travail : chaque patient doit, par exemple, faire un test PCR avant d’être opéré. Nous devons aussi repérer les cas suspects – les patients souffrant de grippe, de maux de tête, etc. – et leur faire passer un test antigénique », explique Sheela.

« Heureusement, les choses se sont un peu calmées car, il y a quelques semaines de cela, nous recevions chaque jour des patients positifs », renchérit Rajesh. Si la Clinique peut octroyer les premiers soins aux personnes atteintes de COVID, elle les redirige le plus souvent vers des structures de soin plus adaptées et équipées pour traiter la maladie. Au-delà de ce quotidien un peu bousculé, ce sont aussi les collègues et patients perdus qui restent dans la pensée du personnel. « Nous ressentons tous un pincement au cœur, surtout en cette fin d’année, pour nos collègues qui travaillent à l’hôpital et pour ceux qui nous ont quittés », confie avec chagrin Sheela.

Malgré la situation ambiante, c’est tout de même un air de fête qui règne sur la Clinique. Petits sapins et autres accessoires sont de sortie pour une décoration discrète et chaleureuse. « Depuis le début de la crise, nous n’avons pas pu organiser de réelles festivités de fin d’année, mais la Clinique a eu de belles attentions envers ses employés », explique Rajesh. Bonus de fin d’année et un quart de quatorzième mois, cartes cadeaux, boîtes de napolitains, gâteau de Noël… « La Clinique a une touche humaine que l’on ne retrouve pas ailleurs. C’est dans une ambiance familiale que nous travaillons ici », poursuit Rajesh.

Si les employés sont invités à organiser des petits dîners festifs en petits groupes, les patients reçoivent eux aussi des repas spéciaux pour bien marquer la fin d’année. Pour Sheela et Rajesh, l’année se termine tout de même sur une note d’espoir. « Les cas ont heureusement diminué, ce qui nous permet d’accueillir 2022 avec optimisme », dit Sheela. Pour Rajesh, c’est le travail des équipes de la Clinique qui lui fait chaud au cœur. « Nos équipes sont formidables et solidaires, ce qui nous a permis de bien terminer l’année. Les nouveaux projets de la Clinique, avec l’agrandissement de la salle d’opération et une nouvelle salle de soins intensifs, sont un baume au cœur car la Clinique n’a de cesse d’offrir un meilleur service », conclut-il.

Une fin d’année marquée par le renouveau qui offre la perspective d’une nouvelle année faite d’espoir et de confiance.